Marie Madeleine

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Marie Madeleine est un portrait authentique et humaniste de l’un des personnages religieux les plus énigmatiques et incompris de l’histoire. Ce biopic biblique raconte l’histoire de Marie, une jeune femme en quête d’un nouveau chemin de vie. Soumise aux mœurs de l’époque, Marie défie les traditions de sa famille pour rejoindre un nouveau mouvement social mené par le charismatique Jésus de Nazareth. Elle trouve rapidement sa place au cœur d’un voyage qui va les conduire à Jérusalem.
Marie Madeleine

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  • mercilienmortthankyouplusunUnDeuxtrois
    quatrecinqsixsepthuitneufdix

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Il n'y a aucune trace, aucun écrit (à part dans les évangiles, mais ils ont été tronqués ou falsifiés au cours des âges), aucun document qui puisse nous éclairer sur la vie de cette dame. Toute enquête est impossible.

Mais la réalité pourrait fort bien être la suivante : Myriam de Magdala (le nom de sa résidence, son domaine, en fait) était en réalité une riche héritière, une propriétaire terrienne et foncière qui finança et hébergea Yéshoua et sa petite troupe de disciples lorsqu'il fit son apparition dans la région.
Myriam épousa Yéshoua (Jésus) lors des fameuses noces de Cana (oui c'est lui, « l'époux », le maître de maison), tout au début de notre histoire.
Il y accomplit un mémorable « miracle » qui le désignait comme Magicien, plus fort que Simon-le-mage, son concurrent. Un titre prestigieux, quasi royal.
Shimon-Petrus (Pierre), un patron-pêcheur assez macho que Yéshoua avait recruté pour sa police était jaloux d'elle et de son ascendant sur le rabbin Yéshoua. « Le maître » embrassait Myriam sur la bouche tout le temps et ça l'énervait. Ah ! l'amour !...
Quand les Romains arrêtèrent celui qu'ils considéraient comme un agitateur politique et qui menaçait la stabilité de la région, elle comprit que l'affaire était fichue. La Pax Romana frappa et crucifia le prophète local le plus en vue.
Elle vendit tout ce qu'elle possédait et embarqua avec ses enfants (ils en avaient eu deux ou trois depuis leur mariage), ses fidèles gens de maison et ses servantes pour fuir les représailles, tant des autorités d'occupation que des différentes factions juives.
Elle aborda les rives de la Gaule (la Narbonnaise, province 100% romaine où elle avait de la famille). Le reste est légende mais les fortunes de la nouvelle secte qu'avait récupérée Saül-Paul, l'agent du fisc romain (qui était parvenu à écarter Jacob-Jacques, le frère de Yéshoua) fit qu'on se souvint que Myriam avait été très proche du fondateur du mouvement.
Paul, ce bon apôtre auto-proclamé, la calomnia (prostituée, pécheresse) et la présenta comme une dévergondée que la nouvelle religion qu'il prétendait représenter seul, avait sauvée des griffes noires de sept démons (ça sonnait bien, ce nombre sept et puis un bon vieux Satan tenait encore les masses en respect). Il n'aimait pas beaucoup les femmes.
Myriam, comme certaines autres femmes (mais pas toutes, certes non) incarnait pour ces gnostiques la divinité, la Sophia (un mot grec qui signifie sagesse ou connaissance). Équivalente à la "Shékina" des Juifs, en quelque sorte.
Un film a exploité cette théorie avec plus ou moins d'exactitude : le Da Vinci Code.
Voilà, vous savez (presque) tout, les amis ! A plus !

 

 

 


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Il n'y a aucune trace, aucun écrit (à part dans les évangiles, mais ils ont été tronqués ou falsifiés au cours des âges), aucun document qui puisse nous éclairer sur la vie de cette dame. Toute enquête est impossible.

Mais la réalité pourrait fort bien être la suivante : Myriam de Magdala (le nom de sa résidence, son domaine, en fait) était en réalité une riche héritière, une propriétaire terrienne et foncière qui finança et hébergea Yéshoua et sa petite troupe de disciples lorsqu'il fit son apparition dans la région.
Myriam épousa Yéshoua (Jésus) lors des fameuses noces de Cana (oui c'est lui, « l'époux », le maître de maison), tout au début de notre histoire.
Il y accomplit un mémorable « miracle » qui le désignait comme Magicien, plus fort que Shimon-le-mage, son concurrent.
Shimon-Petrus (Pierre), un patron-pêcheur assez macho que Yéshoua avait recruté pour sa police était jaloux d'elle et de son ascendant sur le rabbin Yéshoua. « Le maître » embrassait Myriam sur la bouche tout le temps et ça l'énervait. Ah ! l'amour !...
Quand les Romains arrêtèrent celui qu'ils considéraient comme un agitateur politique et qui menaçait la stabilité de la région, elle comprit que l'affaire était fichue. La Pax Romana frappa et crucifia le prophète local le plus en vue.
Elle vendit tout ce qu'elle possédait et embarqua avec ses enfants (ils en avaient eu deux ou trois depuis leur mariage), ses fidèles gens de maison et ses servantes pour fuir les représailles, tant des autorités d'occupation que des différentes factions juives.
Elle aborda les rives de la Gaule (la Narbonnaise, province 100% romaine où elle avait de la famille). Le reste est légende mais les fortunes de la nouvelle secte qu'avait récupérée Saül-Paul, l'agent du fisc romain (un type amieux qui parvint à écarter Jacob-Jacques, le frère de Yéshoua) fit qu'on se souvint que Myriam avait été très proche du fondateur du mouvement.
Paul, ce bon apôtre auto-proclamé, la calomnia (prostituée, pécheresse) et la présenta comme une dévergondée que la nouvelle religion qu'il prétendait représenter seul, avait sauvée des griffes noires de sept démons (ça sonnait bien, ce nombre sept et puis un bon vieux Satan tenait encore les masses en respect). Il n'aimait pas beaucoup les femmes.
Myriam, comme certaines autres femmes (mais pas toutes, certes non) incarnait pour ces gnostiques la divinité, la Sophia (un mot grec qui signifie sagesse ou connaissance). Équivalente à la "Shékina" des Juifs, en quelque sorte.
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Il n'y a aucune trace, aucun écrit (à part dans les évangiles, mais ils ont été tronqués ou falsifiés au cours des âges), aucun document qui puisse nous éclairer sur la vie de cette dame. Toute enquête est impossible.

Mais la réalité pourrait fort bien être la suivante : Myriam de Magdala (le nom de sa résidence, son domaine, en fait) était en réalité une riche héritière, une propriétaire terrienne et foncière qui finança et hébergea Yéshoua et sa petite troupe de disciples lorsqu'il fit son apparition dans la région.
Myriam épousa Yéshoua (Jésus) lors des fameuses noces de Cana (oui c'est lui, « l'époux », le maître de maison), tout au début de notre histoire.
Il y accomplit un mémorable « miracle » qui le désignait comme Magicien, plus fort que Shimon-le-mage, son concurrent.
Shimon-Petrus (Pierre), un patron-pêcheur assez macho que Yéshoua avait recruté pour sa police était jaloux d'elle et de son ascendant sur le rabbin Yéshoua. « Le maître » embrassait Myriam sur la bouche tout le temps et ça l'énervait. Ah ! l'amour !...
Quand les Romains arrêtèrent celui qu'ils considéraient comme un agitateur politique et qui menaçait la stabilité de la région, elle comprit que l'affaire était fichue. La Pax Romana frappa et crucifia le prophète local le plus en vue.
Elle vendit tout ce qu'elle possédait et embarqua avec ses enfants (ils en avaient eu deux ou trois depuis leur mariage), ses fidèles gens de maison et ses servantes pour fuir les représailles, tant des autorités d'occupation que des différentes factions juives.
Elle aborda les rives de la Gaule (la Narbonnaise, province 100% romaine où elle avait de la famille). Le reste est légende mais les fortunes de la nouvelle secte qu'avait récupérée Saül-Paul, l'agent du fisc romain (un type aux grandes amions personnelles qui parvint à écarter Jacob-Jacques, le frère de Yéshoua) fit qu'on se souvint que Myriam avait été très proche du fondateur du mouvement.
Paul, ce bon apôtre auto-proclamé, la calomnia (prostituée, pécheresse) et la présenta comme une dévergondée que la nouvelle religion qu'il prétendait représenter seul, avait sauvée des griffes noires de sept démons (ça sonnait bien, ce nombre sept et puis un bon vieux Satan tenait encore les masses en respect). Il n'aimait pas beaucoup les femmes.
Myriam, comme certaines autres femmes (mais pas toutes, certes non) incarnait pour ces gnostiques la divinité, la Sophia (un mot grec qui signifie sagesse ou connaissance). Équivalente à la "Shékina" des Juifs, en quelque sorte.
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Il n'y a aucune trace, aucun écrit (à part dans les évangiles, mais ils ont été tronqués ou falsifiés au cours des âges), aucun document qui puisse nous éclairer sur la vie de cette dame. Toute enquête est impossible.

Mais la réalité pourrait fort bien être la suivante : Myriam de Magdala (le nom de sa résidence, son domaine, en fait) était en réalité une riche héritière, une propriétaire terrienne et foncière qui finança et hébergea Yéshoua et sa petite troupe de disciples lorsqu'il fit son apparition dans la région.
Myriam épousa Yéshoua lors des fameuses noces de Cana (oui c'est lui, « l'époux », le maître de maison), tout au début de notre histoire.
Il y accomplit un mémorable « miracle » qui le désignait comme Magicien, plus fort que Shimon-le-mage, son concurrent.
Shimon-Petrus (Pierre), un patron-pêcheur assez macho que Yéshoua avait recruté pour sa police (un homme de main, au départ) était jaloux d'elle et de son ascendant sur le rabbin Yéshoua (Yéshoua, c'est Jésus, au fait). « Le maître » embrassait Myriam sur la bouche tout le temps et ça l'énervait. Ah ! l'amour !...
Quand les Romains arrêtèrent celui qu'ils considéraient comme un agitateur politique et qui menaçait la stabilité de la région, elle comprit que l'affaire était fichue. La Pax Romana frappa et crucifia le prophète local le plus en vue.
Elle vendit tout ce qu'elle possédait et embarqua avec ses enfants (ils en avaient eu deux ou trois depuis leur mariage), ses fidèles gens de maison et ses servantes pour fuir les représailles, tant des autorités d'occupation que des différentes factions juives.
Elle aborda les rives de la Gaule (la Narbonnaise, province 100% romaine où elle avait de la famille). Le reste est légende mais les fortunes de la nouvelle secte qu'avait récupérée Saül-Paul, l'agent du fisc romain (un type aux grandes amions personnelles qui parvint à écarter Jacob-Jacques, le frère de Yéshoua) fit qu'on se souvint que Myriam avait été très proche du fondateur du mouvement.
Paulus, ce bon apôtre auto-proclamé, la calomnia (prostituée, pécheresse) et la présenta comme une dévergondée que la nouvelle religion qu'il prétendait représenter seul, avait sauvée des griffes noires de sept démons (ça sonnait bien, ce nombre sept et puis un bon vieux Satan tenait encore les masses en respect).
Myriam, comme certaines autres femmes (mais pas toutes, certes non) incarnait pour ces gnostiques la divinité, la Sophia (un mot grec qui signifie sagesse ou connaissance). Équivalente à la "Shékina" des Juifs, en quelque sorte.
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Il n'y a aucune trace, aucun écrit (à part dans les évangiles, mais ils ont été tronqués ou falsifiés au cours des âges), aucun document qui puisse nous éclairer sur la vie de cette dame. Toute enquête est impossible.

Mais la réalité pourrait fort bien être la suivante : Myriam de Magdala (le nom de sa résidence, son domaine, en fait) était en réalité une riche héritière, une propriétaire terrienne et foncière qui finança et hébergea Yéshoua et sa petite troupe de disciples lorsqu'il fit son apparition dans la région.
Myriam épousa Yéshoua lors des fameuses noces de Cana (oui c'est lui, « l'époux », le maître de maison), tout au début de notre histoire.
Il y accomplit un mémorable « miracle » qui le désignait comme Magicien, plus fort que Shimon-le-mage, son concurrent.
Shimon-Petrus, un patron-pêcheur assez macho que Yéshoua avait recruté pour sa police politique (un homme de main, au départ) était jaloux d'elle et de son ascendant sur le rabbin Yéshoua (Yéshoua, c'est Jésus, au fait). « Le maître » embrassait Myriam sur la bouche tout le temps et ça l'énervait. Ah ! l'amour !...
Quand les Romains arrêtèrent celui qu'ils considéraient comme un agitateur politique et qui menaçait la stabilité de la région, elle comprit que l'affaire était fichue. La Pax Romana frappa et crucifia le prophète local le plus en vue.
Elle vendit tout ce qu'elle possédait et embarqua avec ses enfants (ils en avaient eu deux ou trois depuis leur mariage), ses fidèles gens de maison et ses servantes pour fuir les représailles, tant des autorités d'occupation que des différentes factions juives.
Elle aborda les rives de la Gaule (la Narbonnaise, province 100% romaine où elle avait de la famille). Le reste est légende mais les fortunes de la nouvelle secte qu'avait récupérée Saül-Paul, l'agent du fisc romain (un type aux grandes amions personnelles qui parvint à écarter Jacob-Jacques, le frère de Yéshoua) fit qu'on se souvint que Myriam avait été très proche du fondateur du mouvement.
Paulus, ce bon apôtre auto-proclamé, la calomnia (prostituée, pécheresse) et la présenta comme une dévergondée que la nouvelle religion qu'il prétendait représenter seul, avait sauvée des griffes noires de sept démons (ça sonnait bien, ce nombre sept et puis un bon vieux Satan tenait encore les masses en respect).
Myriam, comme certaines autres femmes (mais pas toutes, certes non) incarnait pour ces gnostiques la divinité, la Sophia (un mot grec qui signifie sagesse ou connaissance). Équivalente à la "Shékina" des Juifs, en quelque sorte.
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(Rectification) Il n'y a aucune trace, aucun écrit (à part dans les évangiles, mais ils ont été tronqués ou falsifiés au cours des âges), aucun document qui puisse nous éclairer sur la vie de cette dame. Toute enquête est impossible.

Mais la réalité pourrait fort bien être la suivante : Myriam de Magdala (le nom de sa résidence, son domaine, en fait) était en réalité une riche héritière, une propriétaire terrienne et foncière qui finança et hébergea Yéshoua et sa petite troupe de disciples lorsqu'il fit son apparition dans la région.
Myriam épousa Yéshoua lors des fameuses noces de Cana (oui c'est lui, « l'époux », le maître de maison), tout au début de notre histoire.
Il y accomplit un mémorable « miracle » qui le désignait comme Magicien, plus fort que Shimon-le-mage, son concurrent.
Shimon-Petrus, un patron-pêcheur assez macho que Yéshoua avait recruté pour sa police politique (un homme de main, au départ) était jaloux d'elle et de son ascendant sur le rabbin Yéshoua (Yéshoua, c'est Jésus, au fait). « Le maître » embrassait Myriam sur la bouche tout le temps et ça l'énervait. Ah ! l'amour !...
Quand les Romains arrêtèrent celui qu'ils considéraient comme un agitateur politique et qui menaçait la stabilité de la région, elle comprit que l'affaire était fichue. La Pax Romana frappa et crucifia le prophète local le plus en vue.
Elle vendit tout ce qu'elle possédait et embarqua avec ses enfants (ils en avaient eu deux ou trois depuis leur mariage), ses fidèles gens de maison et ses servantes pour fuir les représailles, tant des autorités d'occupation que des différentes factions juives.
Elle aborda les rives de la Gaule (la Narbonnaise, province 100% romaine où elle avait de la famille). Le reste est légende mais les fortunes de la nouvelle secte qu'avait récupérée Saül-Paul, l'agent du fisc romain (un type aux grandes amions personnelles qui parvint à écarter Jacob-Jacques, le frère de Yéshoua) fit qu'on se souvint que Myriam avait été très proche du fondateur du mouvement.
Paulus, ce bon apôtre auto-proclamé, la calomnia (prostituée, pécheresse) et la présenta comme une dévergondée que la nouvelle religion qu'il prétendait représenter seul, avait sauvée des griffes noires de sept démons (ça sonnait bien, ce nombre sept et puis un bon vieux Satan tenait encore les masses en respect).
Myriam, comme certaines autres femmes (mais pas toutes, certes non) incarnait pour ces gnostiques la divinité, la Sophia (un mot grec qui signifie sagesse ou connaissance). Équivalente à la "Shékina" des Juifs, en quelque sorte.
Un film a exploité cette théorie avec plus ou moins d'exactitude : le Da Vinci Code.
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Il n'y a aucune trace, aucun écrit (à part dans les évangiles, mais ils ont été tronqués ou falsifiés au cours des âges), aucun document qui puisse nous éclairer sur la vie de cette dame. Toute enquête est impossible.

Mais la réalité pourrait fort bien être la suivante : Myriam de Magdala (le nom de sa résidence, son domaine, en fait) était en réalité une riche héritière, une propriétaire terrienne et foncière qui finança et hébergea Yéshoua et sa petite troupe de disciples lorsqu'il fit son apparition dans la région.
Myriam épousa Yéshoua lors des fameuses noces de Cana (oui c'est lui, « l'époux », le maître de maison), tout au début de notre histoire.
Il y accomplit un mémorable « miracle » qui le désignait comme Magicien, plus fort que Shimon-le-mage, son concurrent.
Shimon-Petrus, un patron-pêcheur assez macho que Yéshoua avait recruté pour sa police politique (un homme de main, au départ) était jaloux d'elle et de son ascendant sur le rabbin Yéshoua (Yéshoua, c'est Jésus, au fait). « Le maître » embrassait Myriam sur la bouche tout le temps et ça l'énervait. Ah ! l'amour !...
Quand les Romains arrêtèrent celui qu'ils considéraient comme un agitateur politique et qui menaçait la stabilité de la région, elle comprit que l'affaire était fichue. La Pax Romana frappa et crucifia le prophète local le plus en vue.
Elle vendit tout ce qu'elle possédait et embarqua avec ses enfants (ils en avaient eu deux ou trois depuis leur mariage), ses fidèles gens de maison et ses servantes pour fuir les représailles, tant des autorités d'occupation que des différentes factions juives.
Elle aborda les rives de la Gaule (la Narbonnaise, province 100% romaine où elle avait de la famille). Le reste est légende mais les fortunes de la nouvelle secte qu'avait récupérée Saül-Paul, l'agent du fisc romain (un type aux grandes amions personnelles qui parvint à écarter Jacob-Jacques, le frère de Yéshoua) fit qu'on se souvint que Myriam avait été très proche du fondateur du mouvement.
Paulus, ce bon apôtre auto-proclamé, la calomnia (prostituée, pécheresse) et la présenta comme une dévergondée que la nouvelle religion qu'il prétendait représenter seul, avait sauvée des griffes noires de sept démons (ça sonnait bien, ce nombre sept et puis un bon vieux Satan tenait encore les masses en respect).
Myriam, comme certaines autres femmes (mais pas toutes, certes non) incarnait pour ces gnostiques la divinité, la Sophia (un mot grec qui signifie sagesse ou connaissance). Équivalente à la "Shékina" des Juifs, en quelque sorte.
Un film a exploité cette théorie avec plus ou moins d'exactitude : le Da Vinci Code.
Voilà, vous savez (presque) tout, les amis ! A plus !

 

 

 


Par Tapez Votre Pseudo | Non Premium --
Jesusmonroi

 

 

 

Pour tout ceux qui non pas aimer le film tempis pour vous .
Que Dieu vous bénisses.

 

 

 


Par Jesusmonroi | Non Premium --
YF

 

 

 

LiLy Putien,
Maria de Magdala, beaucoup d'historien évoque que Magdala était un village.
De fait, comme souvent à l'époque, il s'agissait de précisé que c'était Marie qui venait du village de Magdala (dont l'existence a été prouvéà

 

 

 


Par YF | Non Premium --
arrmader

 

 

 

eteinttatv je comprend que tu n'y trouves pas les évangiles canoniques ...puisque l'on parle des évangiles "apocryphes" celles qui remettent la femme à l'égale de l'homme et qui balaie le sexisme , le racisme et tous les mots en "ismes" qui font honte à l'humain

 

 

 


Par arrmader | Non Premium --
eteintatv

 

 

 

Je suis déçu... c'est une trés mauvaise version des évangiles. Elle n'est même pas fidèle aux canoniques. Fausse on peut le dire... Car Même les apocryphes ont mal été interprétés... Le Notre père avec une réplique comme "Payez la dette..." LOOOL !!!
Attention à la manipulation. Le mieux serait encore de lire les évangiles et de faire votre opinion... A part le film médiocre et les libertés d'interprétations, les chansons sont belles... Et "un" message est quant même passé...

 

 

 


Par eteintatv | Non Premium --
Visiteur armader

 

 

 

Il y a un film à voir c'est "Jésus de Montréal" de Denys Arcand ...qui est contemporain et qui est le plus beau résumé des évangiles à notre époque...J'ai pris une baffe par sa beauté et son intelligence....à ceux qui aiment et qui comprennent ...ainsi qu'à tout les autres , je vous le conseille vivement.....c'est magnifique d'intelligence et contemporain....à voir si le sujet vous parle....

 

 

 


Par Visiteur armader | Non Premium --
sigsig

 

 

 

tres belle histoire merci dix

 

 

 


Par sigsig | Non Premium --
Jo-Campbell

 

 

 

Bof bof... De très belles images mais l'ensemble est décevant. Version féministe de la passion du Christ, après tout pourquoi pas, mais nous sommes loin de la puissance du film de Mel Gibson...

 

 

 


Par Jo-Campbell | Non Premium --
LiLy Putien

 

 

 

Visiteur Igor ! On s'en fout des fans de daech ! Exploseée de rire !!! LOL. Oui, c'est subtil. Mais humour toujours ! J'ai du voir 10 ou 15 minutes du film. Déjà, Marie-Madeleine était "soit-disant" une prostituée.... Et Marie-Madeleine, dans le film il s'en foute c'est Marie tout court.... Quel était le prénom de la mère de J.C ? Je tiens à dire que depuis mon enfance, j'ai fait une crise de foie ! LOL.

 

 

 


Par LiLy Putien | Non Premium --
Visiteur Igor

 

 

 

Ca va pas plaire aux fans de Daech !

Et aux autres...Dixit le niveau des commentaires

 

 

 


Par Visiteur Igor | Non Premium --
valou27

 

 

 

Une jolie version..... Avec certains commentaires vu plus bat on est pas prêt de l'avoir ce royaume ! Merci pour ce partage huit thankyou

 

 

 


Par valou27 | Non Premium --
antek251

 

 

 

j
adore jesus il transforme l eau en vin sur linceul de turin on trouve des traces d opium il traine avec des filles joie il adore la music y a pas a dire un vrai teufeur je te kiff jesus que le bonheur soit avec vous et avec votre esprit

 

 

 


Par antek251 | Non Premium --
Visiteur Kévin

 

 

 

LiLy Putien,
bisou, bisou, bisou

LiLy Putien,
En Suisse c'est 3

 

 

 


Par Visiteur Kévin | Non Premium --
LiLy Putien

 

 

 

Visiteur Kevin... Je te pardonne... Heureux les simples d'esprit. Bisous mon frère.

Bon.. Je stoppe. J'imaginais plus biblique....

 

 

 


Par LiLy Putien | Non Premium --
Visiteur Kévin

 

 

 

LiLy Putien, Tu es atteinte d'aphasie ???

 

 

 


Par Visiteur Kévin | Non Premium --
Visiteur armader

 

 

 

merci jah074, tu résumes bien l'idée de l'évangile de Marie par tes propos , Il y a aussi les évangiles de Thomas 'apocryphe 'qui disent la même chose..C'est sous Constantin et au concile de Nicée , vers 300 après J-C que les pouvoirs (anciens romains , nouveaux chrétiens ) choisissent les évangiles qui seront enseignés , les autres bannis pour une gouvernance apaisé .Constantin étant le premier empereur romain à se convertir...passant ainsi du polythéisme au monothéisme.. et choisissant les codes moraux pour gouverner tranquillement...

 

 

 


Par Visiteur armader | Non Premium --
LiLy Putien

 

 

 

Visiteur Kevin, dans ce cas tu pourras lui dire que j'ai pas mal de chose à lui dire.... Tu feras le facteur ok ? Je te remercie d'avance.

 

 

 


Par LiLy Putien | Non Premium --
Valeska

 

 

 

J'ai pas accroché. Mauvais casting - Joaquin Phoenix est trop vieux pour jouer le rôle de Jésus Christ. Merci à FRENCH STREAM

 

 

 


Par Valeska | Non Premium --
Visiteur Kévin

 

 

 

LiLy Putien, c'est bien Dieu qui a créé l'ange le plus beau, le plus parfait qui est devenu Satan !!
Donc... Dieu est le seul et unique responsable des faits et actes de Satan !!!!!!!!!!!!!

 

 

 


Par Visiteur Kévin | Non Premium --
LiLy Putien

 

 

 

Wow ! Je n'ai pas encore vu ce film, mais je vais le voir. Parce que j'aime bien ce conte de fée. Et que je n'aimerai pas l'enfer de Mohamed. Contrairement à un commentaire.... Mohamed Ali (Cassius Clay) de son vrai nom avant qu'il ne devienne Musulman. J'étais catholique avant de grandir et de conclure d'après moi... Que toutes les religions sont pour les simples d'esprits. Mais il faut respecter les croyances, tant que ça ne dépasse pas le fanatisme ! Cela peut être bien.

Heureux les simples d'esprits ! Qui mieux que le diable connait la bible ? à méditer....

 

 

 


Par LiLy Putien | Non Premium --
Visiteur Kévin

 

 

 

jah974, paix et amour sur toutes et tous.. sans distinction...
=
Homos aussi ???

orelsan san, votre croyance envers Dieu, a apporté quoi à l'homme et à l'humanité, dites-moi.

orelsan san, il n'y a aucune science ni technologie dans l'islam.
Les pays musulmans sont à la traîne de toute l'humanité.
Leur enseignement se borne à la religion et au Coran, ce livre absurde dont ils prétendent qu'il donne des réponses à toutes les questions du monde.
Alors que l'occident possède des centaines de millions de livres et d'écrits dont certains sont beaucoup plus anciens que le Coran et pourtant l'occident et très loin de pouvoir donner des réponses à toutes les questions.
Bien au contraire, nous savons combien le savoir est précieux, mais aussi combien plus on apprend et plus on se rend compte de l'étendue de son ignorance...

Les erreurs traduction sont légion dans la Bible.
Point de miracles divins !
De l'hébreu au français, en passant par le siriaque (dialecte de l'araméen), le grec, l'arménien, le latin et j'en passe, point étonnant que la parole divine (et souvent sibylline) ait été déformée à travers les siècles.

 

 

 


Par Visiteur Kévin | Non Premium --
orelsan san

 

 

 

la bible a etais falsifier l'apotre paul etais un juif qui na jamais vue jesus fils de marie .Evangile en entier a etais falsifier donc tout ne se resume pas a un film ni au pedophile du vatican

 

 

 


Par orelsan san | Non Premium --
jah974

 

 

 

TAGIHIA,
bonjour,
oui effectivement réhabilitée par le pape paul VI...en 1969 !!!...je te l'accorde mieux vaut tard que jamais..mais 13 siècles laissent toutefois des traces dans l'inconscient..
bref je ne vais pas me lancer dans un débat théologique..et puis comme il est enseigné , nous devons pardonner..

sinok;
bonjour, nous pouvons avoir la foi sans être religieux, et oui bien souvent la religion sert le pouvoir et non l'AMOUR d'où les injustices et incompréhensions qui en découlent..Et je comprends ton amertume et ta position car j'ai été longtemps athé jusqu'à ma rencontre impromptue avec le créateur..et je ne suis d'aucunes religions mais j'ai la FOi, je ne suis pas croyant car je ne crois pas mais sais...après je n'attends pas à ce que tu comprennes ni que tu respectes...chacun sa vie et son chemin...chacun ses ressentiments...nourriture de l'âme...comme il a été justement enseigné dans ce film...
Paix et Amour sur toutes et tous...sans distinction..

 

 

 


Par jah974 | Premium 9.06.2018
delta_04

 

 

 

Jesus Christ,
Pauvre mec ! retourne chez ta mère !

 

 

 


Par delta_04 | Non Premium --
Visiteur FANNIE

 

 

 

Magnifique humilité....

 

 

 


Par Visiteur FANNIE | Non Premium --
sinok

 

 

 

C'est troublant de voir autant de gens ici qui sont religieux, la religion est la drogue du peuple. Je suis heureux de vivre au Québec , sans les religions le monde serait plus sain.

 

 

 


Par sinok | Non Premium --
Visiteur Fab

 

 

 

Si tu peux éviter les commentaires comme cela qui n apporte rien à part de la haine je t en serais gré
Jesus Christ,

 

 

 


Par Visiteur Fab | Non Premium --
TAGIHIA

 

 

 

jah974,
La prostitution ou l'adultère à cette époque avait un double sens. Il était regardé par rapport à Dieu. La prostitution avec les Dieux paiens d'où l'adultére envers YHVH. La prostituée qui est amenée devant Jésus pour le mettre à l'épreuve et la condamner est seule. Pourtant dans le code de Lévitique il est dit que les personnes qui sont prises en flagrant délit d'adultère doivent être lapidés tous les deux !!!
L'Église de Rome considéra, à partir de Grégoire Ier au v° siècle, que Marie de Magdala ne faisait qu'une avec Marie de Béthanie ainsi qu'avec la pécheresse qui oint le Christ de parfum (voir Le Repas chez Simon). Cette position a été abandonnée par l'Église catholique après Vatican II, sainte Marie de Magdala étant célébrée le 22 juillet, tandis que Marie de Béthanie l'est avec sa sœur Marthe le 29 juillet.

 

 

 


Par TAGIHIA | Non Premium --
Visiteur Kévin

 

 

 

Le monde est bien fait : Dieu croit aux cons et les cons croient en Dieu ! merci

 

 

 


Par Visiteur Kévin | Non Premium --
hercul

 

 

 

trés trés bon film avec des super acteurs franchement a conseiller

 

 

 


Par hercul | Non Premium --
jah974

 

 

 

magnifique film..une réhabilitation de marie madeleine que l'église de Rome a voulu souiller en la faisant passer pour une prostituée (marie de Béthanie)...une histoire qui nous plonge dans l'évangile de Marie..évangile d'un point de vue féminin, ce qui est plutôt rare..(d'où l'acharnement de l'église à son encontre?)..j'ai aimé tout d'abord la photographie du film et le décor historique...j'ai aimé l'histoire de cette femme insoumise aux hommes et au conformisme...j'ai aimé ce disciple parmi les disciples et les tensions qui pouvaient en découler parce qu'elle était simplement une femme, et qu'elle était plus sensible à une juste compréhension du message de Jésus...j'ai aimé Rooney Mara qui joue ce rôle à la perfection transpirant d'humilité..j'ai aimé Joaquin Phoenix dans le rôle de jésus plus mystique et plus humain sans s'être laissé enfermer dans les stéréotypes..j'ai aimé Chiwetel Ejiofor dans le rôle de Pierre où la raison et la peur l'emporte sur le coeur , j'ai aimé Tahar Rahim dans le rôle de Judas d'une approche touchante et là aussi très humaine de calcul et de désillusion..
"Celui qui connaît le Tout mais qui est séparé de lui-même est séparé du Tout.".."Le royaume de Dieu est en vous-mêmes."
Amour sur toutes et tous...
Paix et harmonie..
dix thankyou FS

 

 

 


Par jah974 | Premium 9.06.2018
sinok

 

 

 

Mais quel merde ce film, est-ce possible qu'on nous présente encore ce genre de stupidité. On sait tous que jesus s'est tapé Marie pas besoin de film pour ça.

 

 

 


Par sinok | Non Premium --
tramento

 

 

 

annefaucher3,
je penses que sait un message pour didier deschamp?
bien entraine bien,

Jesus Christ,
se que tu dit est très profond que dieux te pardonne mon fils pourtant tu es un bon crétin..

 

 

 


Par tramento | Non Premium --
Jesus Christ

 

 

 

bien entraine bien Dis moi avec un blase comme ca ,1:je t'excommunie connasse
2: tu pourrais pas te coller un cierge assez profond pour que tu puisse sentir que tu existe(car oui malheureusement ..tu existe)..quand tu n'as pas vu un film e que tu n'en connaisses pas le sujet,juste ..ferme la!

 

 

 


Par Jesus Christ | Non Premium --
platon

 

 

 

Belle histoire, ou est la part de vérité et ou est la part de fiction. Merci pour le partage.

 

 

 


Par platon | Non Premium --
annefaucher3

 

 

 

bien entraine bien,
??????

 

 

 


Par annefaucher3 | Premium 30.04.2017
bien entraine bien

 

 

 

je n'oserai commenter …
si ce n'est ...merci
peu importe comment c'est fait !
l'important c'est de la retrouver …
je n'ai pas vu le film
de peur que ça soit comme la passion fait par mel gibson
que je n'ai pas vu également sujet tellement sensible , que no comment ,
si ce n'est merci de nous entourer et de prendre soin de nous , de veiller sur nous …
merci beaucoup

 

 

 


Par bien entraine bien | Non Premium --